À la suite d’un mouvement social contre la réforme des retraites d’une ampleur inédite sur le bassin d’Aubenas, marqué par l’unité et la combativité, le gouvernement de Macron cherche à nous faire taire et réprime nos militant
e s.Philippe, militant de longue date de SUD Lutte de Classes, comparaîtra devant le tribunal judiciaire de Privas le 1er mars. Le gouvernement et sa police visent principalement les militant
e s du mouvement social pour nous intimider. Dans toute la France, ce sont des centaines de camarades qui ont été poursuivis suite au mouvement social des retraites. Le choix de s’en prendre à des militants n’est pas anodin de la part du pouvoir en place. Leur objectif est de semer la terreur dans nos rangs. Mais ils ne font que renforcer notre détermination et notre unité.Face à la répression, au harcèlement et à la criminalisation de nos mobilisations, nous réaffirmons que nous ne nous laisserons pas faire. Nos mobilisations sont légitimes et justes : quand on s’en prend à un
e militant e, c’est l’ensemble du mouvement social que l’on attaque.Nous appelons à un rassemblement de soutien devant le tribunal.